C’est dans une véritable opération de séduction que se sont lancés Cyrille de Montgolfier et Olivier Jaillon, respectivement directeur général et président, pour faire de La Parisienne un acteur de premier plan dans la conception de solutions IARD.
La compagnie qui sort de 2 ans de restructurations annonce une croissance de 30% des primes émises en 2015 (108 millions d’euros) et de très fortes ambitions de croissance pour 2016. Le développement est basé sur le recentrage vers l’élaboration de produits et le portage du risque.
La posture est affirmée : le monde de l’assurance est en plein bouleversement et La Parisienne compte bien en tirer partie en misant sur l’agilité à tous les niveaux.
L’agilité commence en interne avec un bouleversement des méthodes de travail et une remise en cause de l’ordre hiérarchique classique. A la façon des start-up de la Silicon Valley, La Parisienne casse les codes établis dans le quotidien des collaborateurs d’un compagnie d’assurance : président et directeur général accessibles, open space, 0 papier, et espaces informels de réunion.
L’objectif est sans équivoque : la centaine de collaborateurs de La Parisienne doit être créative, cultiver la remise en cause et servir les partenaires au plus près de leurs attentes.
La traditionnelle technicité assurantielle reste cependant bien présente avec des recrutements bien ciblés de collaborateurs chevronnés dans les partenariats et la réponse aux appels d’offres du secteur.
L’agilité passe aussi par une grande diplomatie sur la manière d’afficher ses ambitions : La Parisienne se veut l’alliée réactive et constructive de tous les acteurs. Pas de concurrence frontale mais plutôt une capacité à faire du sur-mesure sur des demandes pointues pour les distributeurs, les courtiers grossistes, les réassureur et (même) les assureurs.
Dans le diaporama ci-dessous, les nouveaux locaux de La Parisienne, co-conçus par les collaborateurs, résument cet état d’esprit. A vous de juger…
