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Dans son dernier rapport sur le marché de l'assurance non-vie en France, Fitch pointe un affaiblissement des bénéfices dû à un renforcement de la concurrence tarifaire pour 2016 et 2017.
S&P Global Ratings considère que le niveau de risque porté par les assureurs non-vie anglais se situe à un niveau intermédiaire, soit le troisième meilleur niveau sur une échelle de six. Par comparaison, les marchés non-vie américain et japonais se situent au même niveau de risque, tandis que celui des assureurs non-vie français et allemands est considéré comme faible, soit le second meilleur niveau de l’échelle.
En dépit d’un environnement opérationnel difficile, marqué par un contexte tarifaire et de taux d’intérêts peu favorable, les assureurs non-vie américains continuent de renforcer leur niveau de solvabilité. C’est pourquoi nous attribuons une perspective stable au secteur à horizon 12 mois. Comment expliquer cette situation ?
Standard and Poor's met en garde les acteurs du marché français sur les évolutions réglementaires et les stratégies alors même que les bilans se sont renforcés en 2013.
En 2013, l'assurance a émis dans le monde un montant de 4.641Mds de dollars de primes (3.409M d'euros). La croissance est toutefois ralentie, surtout en assurance-vie.
Le réassureur suisse Swiss Re annonce l'arrivée au poste de directeur général de Walter Eraud. Ivo Hux, son prédécesseur, supervisera les opérations en France, en Suisse et au Bénélux depuis Zurich.
L'agence de notation Fitch Ratings a maintenu la perspective négative sur le secteur de l'assurance-vie pour 2014. Pour l'assurance non-vie, la perspective est également maintenue à stable.
BPCE indique avoir vendu plus de 600.000 contrats non-vie. Dans le top trois des assurances les plus souscrites : l'auto, l'habitation et les garanties accident de la vie.