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Société Générale Assurances et Covéa annoncent avoir rejoint le consortium de la solution PCC (Passport for Connected Car) piloté par The Blockchain Group. Cette initiative doit notamment permettre via les données certifiées et de développer un passeport du véhicule connecté.
Le 10 janvier dernier se tenait le deuxième club Gestion de sinistre du Cercle LAB de la saison. Parrainé par Claude Sarcia, président du directoire d’Inter Mutuelles Assistance et président du SNSA, cette deuxième réunion a été l’occasion pour les participants d'échanger autour de la blockchain, de l'intelligence artificielle ou de l'automatisation, nouvelles technologies qui peuvent se mettre au services de la gestion de sinistres.
Une expérimentation menée par la Fédération française de l'assurance (FFA) a montré la pertinence de la technologie blockchain dans les échanges de données sécurisées entre assureurs dans le cadre de la loi Hamon.
Covéa est le premier assureur à rejoindre le projet Blockchain for Smart Transactions lancé par l’institut de recherche technologique SystemX et composé de partenaires industriels, technologiques et académiques. Le projet devrait permettre de faire la démonstration des usages et services rendus possibles par l’utilisation d’un tiers de confiance décentralisé.
La direction générale du Trésor a lancé une consultation publique sur l'ordonnance « Blockchain ». Les acteurs concernés, au premier rang desquels les Fintechs, ont jusqu'au 19 mai pour répondre au questionnaire.
LaBChain, le consortium européen dédié à la technologie blockchain, accueille 8 nouveaux partenaires. Le consortium rassemble désormais autour de la Caisse des Dépôts 26 partenaires banquiers, asset managers, assureurs, mutualistes, start-ups, entreprises industrielles et associations.
Le réassureur rejoint l’initiative B3I Blockchain Insurance Industry Initiative afin d’étudier la possibilité d’utiliser la technologie blockchain pour optimiser l’échange des données entre (ré)assureurs.
Il y a encore trois ans, le sujet de la blockchain était réservé à une bande de geeks dégingandés qui souhaitaient se passer des institutions financières pour effectuer leurs transactions. Aujourd'hui, ces mêmes institutions, dont font partie les assureurs, s'emparent de la blockchain conscientes des opportunités que recèle cette révolution à venir.
Catastrophes naturelles, Brexit, sanctions, Euro de football, réglementation... Les assureurs ont eu de quoi s’occuper depuis janvier. Retour sur six mois de couvertures, d’indemnisations et de débats.
Allianz annonce avoir utilisé la technologie des « smart contracts » basée sur la blockchain dans le cadre des swaps catastrophes via Allianz Risk Transfer (ART) en partenariat avec Nephila.