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Nous n’attendons pas d’évolution significative de la qualité de crédit des assureurs japonais en 2018. Ceci vaut pour le secteur vie comme pour le secteur non vie. Les notations devraient cependant rester contraintes par la note souveraine qui se situe aujourd’hui au niveau ‘A+’.
Les assureurs non-vie français font preuve de résilience et parviennent à maintenir leur rentabilité malgré un environnement compétitif. Souvent utilisé comme mesure de la rentabilité, le ratio combiné s’établit en moyenne à 101% au cours des cinq dernières années.
Les premiers résultats 2017 des assureurs hollandais laissent entrevoir une amélioration des performances opérationnelles, en dépit d’un environnement toujours difficile du fait d’une forte pression concurrentielle. Il est cependant encore trop tôt pour déterminer si cette tendance perdurera en s’appuyant sur des fondements solides, tels l’amélioration durable des pratiques de souscription, un marché plus concentré ou encore des réductions de coûts.
Avec la récente explosion du nombre d’assurtech innovantes et l’apparition de technologies révolutionnaires, on assiste, depuis 5 ans, à un bouleversement indéniable du secteur de l’assurance. Les acteurs traditionnels ont raison de s’inquiéter si l’on considère les investissements massifs que connaît le secteur ces dernières années. Blockchain, Intelligence Artificielle, Objets connectés, Assurance peer-to-peer...ces innovations sont souvent liées et ont toutes pour point commun d’apporter simplification, rapidité et transparence à l’expérience client.
Riches en statistiques, les assureurs élaborent des tarifs différenciés pour satisfaire tous les assurables à l’instar de l’INSEE qui publie des taux de pauvreté selon divers seuils (40%, 50%, 60% ou 70%) pour satisfaire tous les pauvres, sans doute.
Réunis en commission mixte paritaire, sénateurs et députés ont récemment adopté à l’unanimité la résiliation annuelle de l’assurance-emprunteur. Cette dernière est potentiellement défavorable au modèle d’affaire fructueux des grands groupes bancaires français sur ce segment.
La lecture attentive de l’édito d’une conférence dédiée aux évolutions de notre secteur, organisée par l’un de nos medias professionnels, m’a mis du baume au cœur et, sans doute également aux nostalgiques du « small is beautiful » dans un premier temps, puis plongé dans un abîme de perplexité actuariel, à la réflexion, dans un second...
Il est délicat de se prononcer avec certitude sur les impacts que la Blockchain pourrait avoir dans le monde de l’assurance. Pourtant, quelques axes semblent déjà se dégager: La sharing économie / La densification de la relation client / Les nouveaux produits et modèles.
S’il doit y avoir une récompense du buzzword de l’année, le terme blockchain serait assurément l’un des favoris. Comme tout concept qu’il est de bon ton de placer dans une conversation, il est absolument nécessaire d’approfondir pour bien mettre en lumière la réalité de la révolution promise.
C’est un assureur ou un réassureur, au choix, que nous appellerons X, qui achète sa tradition dans une boulangerie familiale de son quartier (des assurances).