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Depuis plusieurs mois maintenant, voire plusieurs années, le métier de journaliste est attaqué sur sa probité. Il suffit de se rendre sur les réseaux sociaux pour constater à quel point la confiance peut être altérée.
Les Français sont averses au risque nous serine-t-on depuis plusieurs mois, voire plusieurs années. Pendant longtemps cela ne posait aucun souci. Mais aujourd'hui, le ver est dans le fruit.
QVT, bien-être au travail, bienveillance, la mode est au cocooning du salarié. Une nouvelle tendance qui fait le bonheur des vendeurs de baby foot et autres fontaines à Smarties.
Le Black Friday du 23 novembre dernier a rappelé que la fibre environnementale avait bien du mal à résister aux pulsions consuméristes entretenues par des rabais alléchants.
Il paraît que le journalisme est l'un des pires métiers à exercer. Vous comprendrez aisément que je ne souscris pas à cette assertion, et il me faudrait plus qu'un édito pour souligner la richesse de cette profession.
Les Français ne font pas la distinction entre une société d’assurance, un groupe de protection sociale ou une mutuelle parce que leurs méthodes de tarification et leurs pratiques commerciales sont de plus en plus convergentes. Les partenariats entre des mutuelles et des sociétés d'assurance contribuent à la confusion.
Jeudi 7 juin, j’avais rendez-vous pour une conférence de presse organisée par deux syndicats : FO et CGT Generali. C'est un événement finalement assez rare dans l'assurance.
Depuis quelques jours, le nom d'Henri de Castries noirci les pages de la presse nationale. Celui qui fut un temps pressenti pour prendre la tête d'HSBC et que certains d'entre vous imaginaient couler des jours heureux comme « n'importe quel » retraité, pourrait revenir sur le devant de la scène.