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STORY - Devant la montée en puissance du risque cyber et face aux conséquences des récentes attaques d'ampleur à travers le monde, le marché de l'assurance n'a de choix que d'évoluer pour adapter ses offres à de nouvelles typologies de clientèles et à des intermédiaires plus exigeants.
Les polices d’assurance cyber ont beau être commercialisées depuis plus de dix ans, les réassureurs n’y ont pas encore apporté de réponse satisfaisante.
Dans un rapport sur le risque cyber, le Lloyd's met en garde les entreprises. Ces dernières n'auraient qu'une seule alternative : se couvrir contre le risque ou assumer les pertes qui vont aller croissant.
La dernière étude sigma de Swiss Re « Cyber : comment venir au bout d’un risque complexe ? » estime qu’un « filet de sécurité public pourrait être judicieux » pour certains risques cyber inassurables.
Le risque cyber ne connaît pas de frontières et menace les assureurs d’un côté et d’autre de l’Atlantique. Les États-Unis et l’Union Européenne ont décidé de renforcer leur collaboration afin d’échanger des informations et des bonnes pratiques, surveiller ce risque émergent, protéger les infrastructures critiques et coopérer avec les acteurs du secteur de l’assurance.
VIDEO - Alors que Moody's a récemment émis des perspectives stables pour le secteur de la réassurance, Stanislas Rouyer, associate managing director de l'agence revient sur les facteurs qui pourraient endiguer le cycle baissier et les raisons qui explique le lent développement de la couverture du risque cyber.
Dans le cadre de son étude Beazley Breach Insights, l'assureur note une forte poussée des affaires de violation de données sur le premier semestre 2016. Services financiers, de la santé et de l'enseignement supérieur sont les premières victimes.
Une étude* Aon révèle l'inquiétude des entreprises face aux risques cyber et à l'impact sur leur activité. Pour se prémunir, une grande majorité semble accepter l'idée de partager les risques au sein d'un captive d'assurance.
Les assurances sur les cyber-risques peinent à décoller en France, malgré des besoins identifiés par les professionnels. Alexandra Gavarone, directrice du développement de Beazley en France, revient sur ce phénomène dans cette tribune.